Retour aux sources de Picsou
A force de voir tout le monde jouer à
Duck Tales Remastered, j'ai fini par craquer samedi dernier. Non, je n'ai pas fait chauffer la carte bleue parce que j'espère le trouver en version boîte lors de
mon voyage aux Etats-Unis. J'ai plutôt décidé de ressortir
l'original sur
NES. J'ai été surpris de m'en souvenir aussi bien après plus de vingt ans. J'ai même réussi à le finir en un peu moins d'une heure (en
Easy cela dit) !
Ca m'a rappelé les heures passées durant mon enfance à regarder La Bande à Picsou et à lire Picsou Magazine. Oui, je dois avoir une certaine attirance pour les vieux canards avars.
Il n'y a pas que les canards dans la vie
Dans la foulée, je me suis lancé dans l'aventure portable sur Game Boy. Je l'avais depuis quelques années mais je n'y avais jamais vraiment joué. On y retrouve tous les niveaux de la version "console de salon" adaptés à l'écran plus petit. C'est assez impressionnant, je trouve. Il m'a résisté un peu plus longtemps (par manque d'expérience, je pense) mais je l'ai quand même terminé dès dimanche soir.
Maintenant, j'aimerais beaucoup m'essayer à Duck Tales 2 mais les cartouches NES ou Game Boy sont bien plus rares et les prix déjà trop chers.
Je vais donc devoir me tourner vers l'émulation dans un premier temps.
Et donc depuis samedi, j'ai la chanson du générique qui tourne en boucle dans la tête. D'ailleurs, je n'avais jamais entendu la chanson en entier et j'ignorais même qu'il y en avait eu une première puis une seconde version.
Il y a les souris et les lapins aussi !
J'ai aussi profité du long weekend pour commencer sérieusement Disney Epic Mickey 2 The Power of Two sur Playstation 3. C'est Acksell qui m'avait donné le bon plan pour trouver la version Collector à peu cher en janvier et j'ai finalement craqué en mars dernier. J'y joue avec le PS Move et j'aime vraiment beaucoup.
Alors oui, il a pas mal de défauts et la plupart étaient déjà présents dans le premier épisode : la caméra un peu à la ramasse, les objectifs pas toujours très clairs, des bugs de dialogues. De plus, le jeu a été clairement pensé pour se jouer à deux en coopération et quand l'on joue seul avec Mickey, Oswald en profite pour faire un peu ce qu'il veut (et forcément pas ce qu'on attend de lui).
Mais j'adore tellement l'univers, l'ambiance et les clins d'œil cachés partout dans les décors que je ne peux que continuer. J'utilise le guide officiel en version collector pour m'aider quand je suis perdu.
Le fait de pouvoir passer chaque obstacle de deux façons (au moins) ajoute aussi une dimension intéressante. Tout dépend si l'on veut faire plutôt "le bien" (en repeignant les
toons) ou "le mal" (en dissolvant ce qui reste). Au final, on passe fatalement à côté de certaines choses et il faudrait refaire le jeu plusieurs fois pour tout essayer. Et c'est sans compter le nombre dingue de quêtes annexes et d'objets à collectionner (comme les pin's, idée tirée du
Pin Trading des parcs
Disneyland). Mais je n'aurai certainement pas le courage de tout débloquer...
En plus, contrairement à Tomb Raider que j'ai fini la semaine dernière, je peux y jouer en journée, devant mon fils qui prend ça un peu comme un dessin animé. A tel point qu'il m'a dit hier soir : "Toi tu joues à Mickey et moi je regarde et je rigole". Ca s'est fini avec The Art of Disney Epic Mickey comme livre de chevet au moment de se coucher.
Quand on peut faire plaisir...
Vu que je suis dans l'univers Disney, il faudra que je jette un œil sur le remake à venir de Castle of Illusion tout en espérant le même traitement (par Wayforward si possible) pour Quackshot...
Collections et Objets dans cet article